Merck teste l’injection connectée pour la sclérose en plaques et le déficit en hormone de croissance

Le 18/12/2014 à 11:29 par Didier Girault
SEP info

Les données sont transmises à une plateforme web sécurisée. Le laboratoire pharmaceutique a seulement accès aux données qui ont été rendues anonymes.

Merck, laboratoire pharmaceutique allemand, vient de lancer sur le marché le médicament connecté pour deux de ses traitements injectables : la sclérose en plaques et le déficit en hormones de croissance.

Dans la pratique, les informations récoltées lors des injections (date, heure et divers paramètres concernant l’injection) sont transmises à une plateforme sécurisée, gérée par un tiers de confiance (Verizon).

Ces données sont destinées à être partagées entre le médecin et son patient. Toutefois, le laboratoire peut avoir accès à des informations rendues anonymes; ce qui devrait lui permettre de valider son dispositif.

L’un des objectifs de ce modèle est de davantage impliquer le malade dans son traitement.
Un tel modèle est aussi expérimenté par le groupe français Sanofi pour le diabète – via des lecteurs de glycémie connectés.
 

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